Publié le Dimanche, 24 Mai 2015
L’imposant château que l’évêque de Metz Conrad Bayer de Boppart fit édifier à Moyen au XVe siècle est l’objet de fouilles et de restaurations.
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L’imposant château que l’évêque de Metz Conrad Bayer de Boppart fit édifier à Moyen au XVe siècle est l’objet de fouilles et de restaurations.
Depuis leur abandon à la Révolution française, beaucoup d'anciennes abbayes sont en grand danger. Elles constituent un patrimoine que les départements et les régions ont du mal à protéger, à restaurer et à entretenir.
Notre vie quotidienne est tellement imprégnée de nombres et de chiffres que nous ne mesurons plus l’importance de cette notion ni, surtout, des efforts d’imagination et d’abstraction qu’il a fallu déployer pour en arriver là. Cet article se veut une brève histoire de l’émergence du nombre dans la pensée humaine.
La guerre franco-allemande de 1870 est aujourd’hui quelque peu oubliée. L'ouverture du Musée départemental de la Guerre de 1870 et de l'Annexion de Gravelotte vient à point pour le raviver.
La Sainte Croix des Vosges, ou Croix Monastique de Lorraine, est un ensemble de cinq abbayes qui forment une croix dont le centre est Moyenmoutier : Senones à l’est, Étival à l’ouest, Bonmoutier/St-Sauveur au nord et St-Dié au sud.
L'enceinte médiévale de Dambach-la-Ville (Bas-Rhin) est une des mieux conservées de la région. Cet article, publié en 2002, vous est proposé dans une nouvelle version.
Parallèlement à un programme religieux complexe, le Portail de la Vierge de la cathédrale St-Etienne de Metz comporte les représentations des degrés de l'initiation des maîtres bâtisseurs.
La ville de Haguenau médiévale était entourée de trois enceintes, édifiées au fur et à mesure de son développement. La première date de 1152-1164, la deuxième de 1228-1235 et la troisième, qui est en réalité une extension de la deuxième, de 1292/1315. On admet généralement que le château, aujourd’hui disparu, a été construit sur une île de la Moder en 1115. Notons que l’église Saint-Georges a été commencée vers 1137 et celle de Saint-Nicolas vers 1152
Aujourd'hui, les façades des maisons alsaciennes sont de plus en plus colorées, tant en ville que dans les villages ; autrefois, elles étaient surtout blanches ou délavées. Parmi les teintes rencontrées, le bleu tient une place particulière car on le dit associé à un comportement socioculturel.